A l’heure où le Covid-19 a imposé une restructuration du monde actuel de la Mode, un cadre qui semblait jusque-là immuable a pourtant récemment été repensé pour faire face à la crise sanitaire et permettre aux grandes marques de la haute couture de poursuivre leur activité.
De fait, la pandémie a ainsi accéléré un mouvement déjà en acte et permis aux marques de s’affranchir du calendrier officiel des défilés.
Les maisons de couture ont alors songer à s’éloigner des rituels du passé, telles les Semaines de la mode, aujourd’hui affaiblies par l’absence de nombreux ténors, et à explorer de nouveaux formats.
Par le passé, les Fashion Weeks avaient deux cibles, la presse et les acheteurs, d’où la nécessité de concentrer un maximum d’événements dans un laps de temps.
Cependant aujourd’hui, la campagne de vente se passe essentiellement en digital, le fashion show est donc devenu davantage un moment de spectacularisation destiné au client final, d’où l’importance de sortir du calendrier officiel et de se détacher d’un programme habituellement surchargé, pour s’attirer les projecteurs et multiplier les visualisations.
En effet, dans un moment de grande concentration, tel que l’offrent les Fashion Weeks, la compétition est extrême.
Défiler en dehors du calendrier garantit un moment de visibilité plus fort.
S’il a paru un temps envisageable de ré-organiser des défilés physiques en présence d’un public qui compte parfois plusieurs centaines de personnes, les dernières évolutions de la propagation de l’épidémie de Covid-19 font que le milieu de la Haute Couture évolue dans une voie nouvelle et a désormais recours à des dispositifs digitaux pour dévoiler ses créations.
Les défilés changent alors de rôle et servent à communiquer vers le public et sa propre communauté en véhiculant messages et contenus sur les réseaux sociaux.
Saint Laurent a ainsi été la première maison à prendre une direction nouvelle en annonçant en avril 2020, qu’elle se retirait du calendrier officiel pour explorer de nouvelles perspectives et mieux promouvoir la marque et ses produits.
Et comme les résultats ont été assez convaincants, au fur et à mesure, d’autres grandes maisons de Haute Couture ont commencé à leur tour à expérimenter cette approche aussi, pour rester visibles malgré la pandémie et rester dans la compétition.
Cette nouvelle tendance à occuper de manière plus insatiable la scène digitale, avec des “défilés-événements” virtuels ou filmés, a presque fini par provoquer le résultat inverse à celui recherché, avec un embouteillage sans précédent de présentations et shows en ligne en fin d’année.
Un certain nombre de ces présentations ont eu pour
objectif de promouvoir des collections, qui arrivaient en magasin au moment de
la réouverture des boutiques.
Cette nouvelle vague pensée temporaire a été rajoutée au calendrier habituel des pré-collections, donnant une impression d’événements en saccades.
Depuis lors, d’autres grandes marques encore s’essaient à des nouveaux concepts de défilé depuis des lieux prestigieux retransmis en ligne en direct.
Depuis lors, d’autres grandes marques comme encore Chanel, Balenciaga, Louis Vuitton ou Dior s’essaient à des nouveaux concepts de défilé depuis des lieux prestigieux retransmis en ligne en direct.
Dans ce dernier cas, les marques imaginent un concept de défilé itinérant en plusieurs étapes (dans les capitales mondiales de la mode), dévoilant à chaque fois de nouvelles créations ainsi que des créations plus anciennes revisitées, afin de toujours susciter l’intérêt des journalites et de leurs clients.
Cette idée devient alors de plus en plus populaire et de nombreuses marques de luxe comme Gucci la reprennent début 2021 pour développer du contenu hybride visant à optimiser leur système de promotion, à travers toute une série d’événements, entre expériences publiques, physiques et digitales.
Aussi, et malgré tout ce qui a pu se dire sur l’industrie du luxe, il convient de dire qu’elle a fait preuve face à la pandémie d’une flexibilité extraordinaire en s’adaptant rapidement à la situation.
Et d’une certaine manière, les maisons de luxes sont ainsi devenues des médias à elles seules.
Ainsi, les designer labels, qui sont commercialisées uniquement à travers leur propre réseau de boutiques, ont pu plus aisément se détacher du calendrier officiel, jusque-là imposé.
Pour autant, il y a fort à parier que cette myriade de projets et autres solutions innovantes ne fera pas disparaître les Fashion Weeks.
En effet, le digital n’est pas considéré comme une complète alternative, mais un ajout offrant une nouvelle forme d’expression aux maisons.
Car le défilé traditionnel garde un caractère unique : de fait, sur l’ordinateur, vous n’aurez jamais l’expérience d’un show, ni celle de Paris ou de Milan durant la Fashion Week.
Et rien ne remplacera ce dialogue avec le créateur…
ChatNoir, l’agence de mannequin qui pense à demain…
At a time when the Covid-19 has imposed a restructuring of the current world of Fashion, a framework that until then seemed immutable has however recently been redesigned to face the health crisis and allow major brands of haute couture to continue their activity.
In fact, the pandemic has just accelerated a movement already in action and allowed brands to break free from the official fashion annual calendar.
In the past, Fashion Weeks had two targets, the press and buyers, hence the need to concentrate as many events as possible in a time frame.
However today, the sales campaign takes place mainly in digital, the fashion show has therefore become more of a moment of “spectacularization” intended for the customer, hence the importance of leaving the official calendar and detaching from a tight schedule, usually overloaded, to attract the spotlight and multiply visualizations.
Indeed, in a time of very busy period, such as the Fashion Weeks, the competition is extreme. Making shows and promotion outside the calendar guarantees a stronger visibility moment.
Fashion houses therefore considered moving away from the rituals of the past, like for the Fashion Weeks, now weakened by the absence of many big names, and exploring new formats.
If it seemed a possible time to re-organize physical parades in the presence of an audience that sometimes numbers several hundred people, the latest developments in the spread of the Covid-19 epidemic mean that the middle of the Haute Couture is moving in a new direction and now uses digital devices to unveil its creations, which is rapidly changing the established world of broadcasting.
This is why the fashion shows are having a new role now and serve to communicate both with the clients and the brand’s community by conveying messages and content on social networks.
Saint Laurent was thus the first to take a new direction by announcing in April 2020, that it was withdrawing from the official calendar to explore new perspectives and promote better the brand and its products.
And as the results were pretty convincing, progressively, other big fashion houses have started to experiment this approach too, to remain visible despite the pandemic and stay in the competition.
This new trend to occupy the digital front scene in a more insatiable way, with virtual or filmed “show-events”, has almost ended up causing the opposite result to that sought, with an unprecedented tailback of brands presentations and online shows at the end of the year.
Besides, many of these presentations were aimed at promoting collections, which arrived in stores later, when the boutiques have started to reopen.
This new trend, at first thought to be temporary, has been added to the usual pre-collection schedule, giving the impression of in fits and starts events.
Thus, in late 2020, to only quote the most important brands, paraded with their spring-summer 2021 women’s collection Sacai, Comme des Garçons and Junya Watanabe, transferred to the occasion at Tokyo Fashion Week.
Chanel, Balenciaga, Louis Vuitton and even Dior have adopted a hybrid concept, both via a virtual reality fashion show intended for a few journalists and via video content accessible to all on the Web.
Since then, other big brands of the fashion industry are experimenting with new fashion shows concepts, broadcasting live from prestigious venues.
In the latter case, brands imagine a concept of a traveling shows with several stages (in the world’s fashion capitals), each time unveiling new creations as well as older revisited ones, in order to always arouse the interest of both journalists and their customers.
This idea then becomes more and more popular and many luxury brands like Gucci, Dolce & Gabbana or Mugler are taking it up again in early 2021 to develop hybrid content aimed at optimizing their promotion system, through a whole series of events, between public, physical and digital experiences.
For all these reasons, and despite everything that has been said about the luxury industry, it should be said that the industry has shown an extraordinary flexibility in dealing with the pandemic by quickly adapting to the situation.
Therefore, luxury houses have progressively become effective real media. Consequently, designer labels, which are marketed only through the brands own network of boutiques, have been able to more easily break away from the official calendar, which until then had been imposed.
However, it is a safe bet that this myriad of projects and other innovative solutions will not make Fashion Weeks disappear.
Indeed, digital is not seen as a complete alternative, but an option offering a new form of expression for the fashion houses.
Because the traditional fashion show retains a unique character: in fact, on the computer, you will never have the experience of a show, nor that of Paris or Milan during Fashion Week.
And nothing will replace this dialogue with the creator …
ChatNoir, the model agency always thinking of tomorrow.
Depuis l’apparition du COVID-19, les industries de la mode et du divertissement ont été gravement touchées dans le monde entier.
En effet, les planificateurs d’événements et de programmes, les distributeurs de films, ont reporté la sortie de certains événements, programmes, films, malgré la période de vacances scolaires, normalement synonyme de saison charnière pour le box-office et pour de nombreux événements populaires au début du printemps.
Outre le report, plusieurs festivals ont préféré annuler complètement leurs dernières éditions depuis l’année dernière comme le fameux AnimeJapan 2020.
Cependant, la situation semble devenir un peu plus stable que l’année dernière et l’activité commence à reprendre peu à peu.
En effet, la période actuelle est une phase de transition pour le secteur du divertissement, provoquant de nombreux changements notamment visible au Japon, et toutes les entreprises tentent de gérer cette crise de façon à trouver un compromis, basé sur un nouveau style de travail hybride, combinant le travail à distance et le travail de bureau.
Toutefois, pour l’industrie du divertissement et de la mode, l’activité nécessite par définition de nombreuses interactions physiques entre des personnes.
Pour l’instant, il est vrai qu’il est difficile de ne pas songer à l’éventualité d’une récession mondiale qui entrainerait l’augmentation du chômage et d’une période difficile à venir au sein de l’industrie.
De plus, de manière générale, il est également avéré que freelancers font toujours partie de ceux qui sont souvent laissés pour compte en ce qui concerne les mesures de soutien financier et rencontrent plus de difficultés pendant les périodes difficiles.
En revanche, l’industrie de la mode et les personnes impliquées ont davantage à gagner à se concentrer sur le côté positif de la situation à partir de maintenant.
Et il faut reconnaitre que cette pandémie entraîne également un réapprentissage complet des valeurs humaines, ce qui peut avoir des effets positifs dans certains domaines.
Pour autant, la question est un peu plus complexe ici mais les différentes agences et entreprises de l’industrie du divertissement apportent également leur lot de changements en réduisant par exemple le nombre de personnes sur place, en créant et diversifiant leurs contenus et événements en ligne, ou même en organisant des festivals plus petits, pour poursuivre leur activité malgré l’impact dû à l’épidémie.
On peut également remarquer récemment l’essor des technologies de réalité virtuelle (RV) pour développer des expositions et des spectacles à distance. D’ailleurs, il est fort probable que les concepts de RV deviendront plus présents dans l’industrie à l’avenir.
Par conséquent, par rapport à ces derniers mois, et même si l’activité n’a pas encore complètement repris, les modèles et les talents peuvent constater que les opportunités d’emploi réapparaissent.
Parmi lesquels, nous pouvons trouver des opportunités en tant que modèles pour des tournages photo et vidéo, des vidéos commerciales ou des dramas, car cela ne nécessite pas forcément beaucoup de monde en général sur les lieux.
Dans une moindre mesure, les mannequins promotionnels, hôtes et hôtesses ou maîtres de cérémonie peuvent également retravailler pour des événements plus petits en respectant les mesures de sécurité et d’hygiène prises sur les sites.
Enfin, les traducteurs, interprètes et comédiens vocaux peuvent également trouver plus d’offres car ces emplois ne nécessitent pas du tout d’interactions physiques et tout peut être fait de chez eux.
Mais même si vous pouviez trouver du travail, le monde change “avec Corona” et ce ne sera plus le même à partir de maintenant.
Il est donc plus important que jamais de rester fort pendant une période difficile, de développer des compétences et de bons réseaux afin de devenir unique en son genre et de rester dans la compétition.
Et même si l’épidémie fait encore partie de notre quotidien pour l’instant et le restera un moment, c’est à nous de travailler dur pendant que la situation évolue progressivement dans le but de construire une nouvelle vision de l’industrie pour un avenir post-covid.
ChatNoir, l’agence de mannequins qui pense déjà à demain…
Since the dawn of the COVID-19 crisis, the fashion and entertainment industries have been severely impacted all over the world.
Indeed, event and program planners, movie distributors, have been postponing the releases of some events, programs, films, despite the school spring break, normally being a peak period at the box-office and for many popular events at the beginning of spring.
In addition to the postponing, several festivals have preferred to cancel their latest editions completely since last year like the famous Anime Japan 2020.
However, the situation seems to become a bit more under-control than the past year and the business is recovering step by step.
Indeed, the current period is a new transition for the entertainment business, causing many changes especially in Japan, and all the companies are trying to manage the crisis in varied ways to find a compromise, based on a new hybrid working style: combining remote work with office work.
However, for the entertainment and the fashion industry, the activity itself needs in general many physical interactions between people.
For now, it is difficult not to think about the possibility of a global recession that can have as a consequence the increase of unemployment and hard times to come in those industries.
In addition, generally speaking, it is pretty clear that freelancers are always among those who are left behind concerning financial supporting measures and face more difficulties during hard times.
On the other side and depending on the area, freelancers have the freedom and opportunity to be creative and find new ways to pursue their goals.
Consequently, the industry and the people involved are more likely to focus on the positive side of the situation from now and the truth is that this pandemic bring a whole re-learning of human values too.
Thus, the issue is a little more intricate but the different agencies and companies of the entertainment industry are also making some changes by reducing the number of people onsite, by creating and diversifying online contents and events, or even by organizing smaller festivals, to keep on working despite the impact due to the corona virus disease pandemic.
We can also notice recently the rise of VR (virtual reality) technologies to develop exhibitions and shows remotely. Should this go ahead, it is likely that VR concepts are going to become more present in the industry in the future.
Therefore, compared to the past few months, even if the activity has not been back to its fullest yet, models and talents can see the job opportunities coming back again, slowly but surely.
Among which, we can find back opportunities as models for photo and video shootings, extra for commercial videos or dramas as it does not require many people in general in such a case.
To a lesser extent, promotional models, hosts and hostesses or master of ceremonies can also work again for smaller events by respecting the security and sanitary measures taken on-sites.
Lastly, translators, interpreters and voice actors can also find more offers than other works as those jobs does not require physical interactions at all and everything can be done from home.
But even if you would be able to find jobs, the world is changing “with Corona” and it will not be the same anymore from now.
So it is more important than ever before to remain strong through a challenging time, to develop skills and good networks in order to become unique and to stay in the competition.
And even if the outbreak is still part of our daily life for now and will stay for a while, it is up to us to work hard while the situation gradually changes for the better in order to build a new vision of the industry for a post-covid future…
ChatNoir, the model agency always thinking of tomorrow.
Cette nouvelle année, il a été décidé que les Jeux Olympiques reprogrammés se tiendront bel et bien à Tokyo, mais à quoi peut-on s’attendre à l’approche de 2021?
En effet, d’un point de vue professionnel, mannequins, talents, mannequins promotionnels, hotes comme hotesses, MC (etc. .) nourissent beaucoup d’attentes pour l’année à venir et beaucoup espèrent qu’elle offrira plus de perspectives et d’opportunités que 2020. Jetons donc un coup d’œil au top 10 des modèles les plus actifs recommandés pour 2021!
Commençons par Chat Noir, qui travaille actuellement avec plus de 1500 talents et modèles, avec plus de 950 modèles japonais et 550 modèles étrangers. L’agence est très active à l’échelle nationale mais aussi internationale, réalisant de nombreuses transactions avec d’autres pays dont les États-Unis avec la succursale de Los Angeles. En outre, Chat Noir propose de nombreux services en japonais, anglais et chinois (et même français).
Cette agence a beaucoup de talents et travaille avec des acteurs et des actrices. Donc, si vous aspirez à de telles opportunités à l’avenir, c’est l’endroit recommandé. D’ailleurs, c’est le bureau auquel appartenaient les célèbres mannequins Reina Triendl et Nanao.
De nombreux talents célèbres sont inscrits. Si les défilés de mode et le monde du divertissement sont des mots qui résonnent en vous, allew donc faire un tour sur leur site. C’est une bonne référence en la matière.
C’est une agence de mannequins à laquelle appartiennent des talents japonais très populaires comme Moe Oshikiri et Yuri Ebihara. C’est une filiale du grand groupe K Dash.
Tokyo, Osaka, Nagoya et autres succursales sont disponibles. De nombreux domaines différents sont couverts mais encore une fois, cette agence s’adresse aux modèles japonais et métisses japonais.
Although it is for local and half women only, if you want to become a famous talent or actress, you should try your luck here.
Voici donc la nouvelle liste pour l’année à venir 2021 et nous espérons qu’elle sera utile pour tous les mannequins et talents travaillant déjà au Japon ou prévoyant de commencer dans un proche avenir…
The year 2020 was kind of special and yet 2021 is about to start. And it has been decided that the rescheduled Olympic Games will finally be held in Tokyo.
And yet, what can we expect for this new year 2021?
Indeed, in terms of work, models, talents, promotional models, grid girls, MCs (etc.) have many expectations and many people hope that the New Year will offer more perspectives and opportunities than 2020.
So let’s have a look at the top 10 most active modeling recommended for 2021!
Let’s start with Chat Noir, currently working with more than 1500 talents and models, with around 950 Japanese models and 550 foreign models. The agency is very active nationwide but also internationally, making many transactions with other countries including the US with the branch in Los Angeles. Besides, Chat Noir provides plenty of services in Japanese, English and Chinese.
This office has a lot of talents and works with actors and actresses. So if you are longing for such opportunities in the future, this is the recommended place. By the way, this is the office to which the famous models Reina Triendl and Nanao used to belong.
Many famous talents are enrolled. If fashion shows and entertainment are words that resonate with you, try to visit their website. It is a good reference.
It is a model agency from which some very popular Japanese talents belong to like Moe Oshikiri and Yuri Ebihara used to. It is a branch of the big K Dash group.
Tokyo, Osaka, Nagoya and other branch offices are available. Many different areas are covered but once again, it is designed for Japanese and Half Japanese models.
Although it is for local and half women only, if you want to become a famous talent or actress, you should try your luck here.
So here is the new list for the upcoming year 2021 and we hope it will be helpful for all the models and talents already working in Japan or planning to start in the near future…